La Plateforme Résistance Démocratique (RED) fait face à une tentative de déstabilisation orchestrée par un ancien membre, Jonas Coffy, récemment exclu de manière définitive du parti. Avec l’aide de deux alliés, qui n’ont jamais appartenu à la plateforme, Coffy aurait publié un faux communiqué attribué à la RED dans le but de semer le trouble et de discréditer ses dirigeants.
Selon les membres et dirigeants de la Plateforme RED, ce faux communiqué est une attaque délibérée contre des personnalités clés du mouvement, notamment Renald Lubérice, Smith Augustin, et Esther Antoine, tous trois des figures reconnues pour leur engagement dans la lutte pour une Haïti démocratique et juste. Cet acte, qualifié de "barbare et terroriste", s’inscrit dans une stratégie visant à diviser la plateforme et à fragiliser son combat contre la corruption et l’impunité.
Un faux communiqué pour semer la confusion
Le document incriminé, diffusé sur les réseaux sociaux, prétend exclure certaines figures de la Plateforme RED tout en avançant des accusations graves à leur encontre. Cependant, la plateforme a rapidement réagi en démentant l’authenticité de ce texte. "C’est une manœuvre isolée et malveillante, conduite par des individus motivés par des intérêts personnels", a déclaré un porte-parole du mouvement.
Il est également important de souligner que les deux autres signataires de ce faux communiqué n’ont jamais été affiliés à la RED. Leur implication soulève des questions sur les motivations réelles derrière cette tentative de désinformation.
Une attaque contre les valeurs fondamentales de la RED
Pour les dirigeants de la Plateforme RED, cette action représente non seulement une attaque contre ses membres, mais également une menace contre les valeurs mêmes qui définissent l’organisation. "Cette initiative vise à affaiblir notre lutte pour la justice, la transparence et la démocratie en Haïti. Mais nous ne nous laisserons pas distraire par ces tentatives désespérées", ont affirmé les dirigeants dans une déclaration officielle.
Le faux communiqué cible particulièrement des leaders influents du mouvement, accusant à tort certains d’entre eux de malversations. En réalité, ces accusations infondées ne servent qu’à détourner l’attention du public des véritables enjeux politiques et sociaux auxquels le pays fait face.
Une réponse ferme et des actions en justice envisagées
Face à cette situation, la Plateforme RED envisage de porter l’affaire devant la justice pour que Jonas Coffy et ses complices répondent de leurs actes. "Nous ne pouvons tolérer de telles attaques contre l’intégrité de notre mouvement. La justice doit s’exprimer pour décourager ce genre de pratiques malveillantes", a précisé un responsable.
La plateforme appelle également ses sympathisants et la population à rester vigilants face à la désinformation. Elle réitère que ses communications officielles sont diffusées exclusivement par des canaux certifiés.
Une lutte qui continue
Malgré cette tentative de déstabilisation, la Plateforme Résistance Démocratique (RED) reste plus déterminée que jamais à poursuivre son combat pour une Haïti meilleure. "Ces attaques ne font que renforcer notre conviction et notre engagement envers les valeurs que nous défendons", concluent ses dirigeants.
Cet épisode, bien que regrettable, met en lumière les défis auxquels les mouvements politiques haïtiens sont confrontés dans un contexte de tensions et de luttes pour le pouvoir. Pour la RED, il s’agit d’un rappel que la lutte pour une démocratie véritable passe également par la résilience face à de telles manœuvres.
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